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Collecte de vélos dans les recyparcs - 03 Mai 2018
Cinéma : Intouchables (...Avec d'autres yeux)
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Informations spécifiques
Sélectionnez une information pour faire apparaître le texte correspondant- Léonie de Waha:
- Joseph Osterrath (Père et fils):
- Oscar Berchmans:
- Jean d'Ardenne:
- Robert Dalem:
- Auguste Donnay:
- Louis Gavage:
- Camille Lemonnier:
- Maurice Maeterlinck:
- Hortence Montéfiore:
- Jean Rey:
- Albert Simonis:
- Léon Souguenet:
- Paul van Hoegaerden:
- Les 3 mousquetaires:
- Les résistants:
Le trio du « Pourquoi Pas »
Les trois Mousquetaires ou Moustiquaires
Trois
noms inséparables, trois annalistes de leur temps qui, dans le Pourquoi
Pas ?, ont résumé toute l’activité intellectuelle de la Belgique dans
des articles et des notes qui sont des attestations authentiques de
l’histoire contemporaine.
Témoins vigilants, censeurs caustiques sans
âpreté, juges ardents sans aigreur, ils représentent chez nous une
force bien équilibrée qui met beaucoup de choses au point, les valeurs
en place et les non-valeurs, les imposteurs, les faux-semblant au
vestiaire.
Extrait du discours de Mr Olympe Gilbart à la manifestation Léon souguenet et George Garnir à Mons en 1939.
Léon Souguenet (1871 – 1938)
D’origine française, il vécut et travailla en Belgique.
Montois
d’adoption, écrivain exquis, journaliste, grand pèlerin du monde
entier, esprit ouvert, homme de goût et défenseur des forêts.
Il rédige des proses poétiques sous le pseudonyme d’Etherel au Messager de Bruxelles.
Rédacteur régulier de la Chronique où il signait Bob ses menus faits et faits menus.
Carnet d’un homme de lettres dans l’Eventail.
Il était à Liège, en 1905, pendant l’année de l’Exposition, et y faisait merveille.
Initiateur la même année de la « Fête des Arbres à Esneux».
En 1907, fondation du journal La Province à Mons, où il est appelé à en prendre la direction.
En 1910, il constitue la société anonyme du Pourquoi Pas, avec George Garnir et Louis Dumont-Wilden.
De
son vivant en 1932, sous l’impulsion de Louis Gavage et pour
redynamiser la Fête des Arbres, Esneux fait ériger un monument en son
honneur sur le site de Beaumont, dont il a été un défenseur acharné.
George Garnir (1868 – 1939)
Né
à Mons, fils de bourgeois, diplôme d’avocat, écrivain très goûté pour
sa bonne humeur et l’exquise sensibilité dont témoignent ses œuvres. Il
plaît, il enchante, il charme, il attire, il retient, et son lecteur
subit une impression de plaisir réel. Tour à tour conteur, revuiste,
romancier, auteur dramatique et journaliste très averti et très actif,
épris de folklore, on apprend beaucoup à le lire, en même temps qu’on se
distrait. Il n’y a pas de plus bel éloge à faire d’un écrivain.
Il
était d’Ocquier par ses grands parents paternels. Enfant et jeune homme,
il a fait de fréquents séjours à Ocquier et c’est du terroir condruze
qu’il a tiré la matière de ses livres (ex. Fermes aux grives, Contes à
Marjolaine) et de ses mémoires d’un conducteur de malle-poste Les Dix
Javelles.
Œuvres qui disent « l’aspect, le contour et la psychologie » de toute la région condruze (Maurice Gauchez).
Membre de l’Académie royale de langue et de littérature française de Belgique.
Louis Dumont-Wilden (1875 – 1963)
Journaliste, écrivain essayiste, critique.
Membre de l’Académie royale de langue et de littérature française de Belgique, co-fondateur du Pourquoi Pas.
Collabore à de nombreux périodiques dont l’Indépendance belge.
Réalise de vivantes monographies littéraires ou artistiques.
Auteur de la Belgique illustrée éd. Larousse.
Il a traité l’esprit européen (valeur prophétique).
Extraits d’une brochure éditée à l’occasion du centenaire de la Fête des Arbres
« Arts et Nature – temps et espace – Esneux »
Promenade sensorielle et temporelle de la boucle de l’Ourthe
Rédaction : A. Prick-Schaus, N. Malmendier et M. de Selliers
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